La langoustine survit-elle à sa capture ?
Paris, le 25 septembre 2009
Dans le golfe de Gascogne, le taux de survie global des rejets de langoustine de la pêche chalutière langoustinière a été estimé à 30 % dans les années 70. Une révision de ce taux a été jugée nécessaire en raison notamment des changements dans les pratiques d’exploitation (engins, maillage, matériaux…). Le taux de survie global repose sur l’estimation de deux paramètres :
- la survie d’une langoustine remise à l’eau vivante,
- le pourcentage d’individus vivants parmi l’ensemble des langoustines rejetées.
Le premier de ces paramètres a été étudié par l’Ifremer, en partenariat avec les pêcheurs professionnels et l’Association du Grand Littoral Atlantique (Aglia), au cours d’une campagne à bord du chalutier L’Atlantique. Cette première campagne s’est déroulée dans le golfe de Gascogne du 21 au 25 juillet 2009. Elle sera suivie d’autres campagnes pour affiner ces premiers résultats, et d’observations à bord de navires professionnels pour estimer le deuxième paramètre.
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