Présent aux Antilles depuis 1970, l’Ifremer compte à ce jour une équipe de 16 personnes dans la station située au Robert en Martinique. Historiquement centrée sur la pêche et l’aquaculture, son activité s’ouvre désormais à l’étude de l’environnement littoral de Martinique et de Guadeloupe. Équipée d’une grande plate-forme expérimentale, la station apporte son expertise sur des projets d’aquaculture.
Le projet Antithesis étudie la zone de subduction des Petites Antilles, pour connaître son implication dans les risques de séismes.
Identifier les différentes espèces de microalgues responsables de la ciguatera, les toxines produites et leur répartition géographique
CARIBCOAST : améliorer les connaissances de la circulation générale autour de la Martinique et de la Guadeloupe.
Le projet Save-C étudie la biodiversité associée aux sargasses, leur cycle de vie et les solutions de récolte et de valorisation de ces algues.
L'Ifremer étudie depuis 2002 la présence de cet insecticide toxique et persistant dans la faune marine pêchée.
L’appui de l’Ifremer à la mise en œuvre de la DCE a permis de renforcer les réseaux de surveillance et d’harmoniser les indicateurs et les grilles de qualité pour les paramètres physico-chimiques et le phytoplancton
EDB2 : appliquer une méthode à données limitées sur la pêche pour faire des diagnostics sur la biomasse et la pression de pêche.
Une seule espèce de poisson, l'ombrine ocellée, est aujourd'hui exploitées dans les Antilles. Ce projet identifie les espèces adaptées à l'élevage pour diversifier l'aquaculture.
Le suivi des activités de pêche est réalisé au travers du Système d’informations halieutiques (SIH).
Réduire la capture des poissons côtiers en redirigeant l'effort de pêche sur les poissons pélagiques de haute mer
